Ce nouveau virus est l’agent responsable de cette nouvelle maladie infectieuse respiratoire appelée Covid-19 (pour COronaVIrus Disease), pour le moment identifié sous le nom de SARSCoV-2.
Les recommandations de prise en charge destinées aux professionnels de santé en ville étaient d’appeler le médecin ou le 15.
L’homme s’est toujours tourné vers les plantes et, a priori, a toujours pensé que la nature était bonne. Aussi au cours des siècles, il a appris à ses dépens qu’un bon nombre de plantes pouvaient avoir des propriétés psychotropes. Ces plantes contiennent des substances chimiques capables de provoquer des hallucinations visuelles, auditives, olfactives et gustatives. Leur utilisation remonte aux premiers pas de l’homme dans la connaissance de son environnement végétal. Les effets provoqués par ces plantes sont souvent étranges et inexplicables : il n’est donc pas étonnant qu’elles aient joué un rôle important dans les rites religieux des civilisations et qu’elles soient encore vénérées par certains peuples dont les cultures perpétuent d’anciennes traditions.
La benoîte commune (Geum urbanum L., Rosaceae) se nomme également herbe de saint Benoît, herbe bénite, benedicta selon Hildegarde de Bingen.
Les maladies émergentes sont nombreuses depuis quelques décennies du fait de l’amélioration des méthodes de diagnostic mais aussi en raison des voyages, du commerce et des possibilités de contamination par des animaux sauvages ou domestiques. Près de 75 % des maladies sont des zoonoses c’est-à-dire communes à l’Homme et à l’animal. Les chauves-souris ont joué un rôle important de réservoir pour de nombreux virus dont les coronavirus, derniers virus responsables de zoonoses émergentes en particulier avec la pandémie actuelle de la Covid-19. Pour cette maladie, la barrière d’espèce peut être franchie avec d’autres animaux, dont les animaux de compagnie ou d’élevage.
There have been many emerging diseases in recent decades due to improved diagnostic methods, but also due to travel, trade and the possibility of contamination by wild and domestic animals. Nearly 75 % of diseases are zoonoses common to humans and animals. Bats have played an important role as a reservoir for many viruses, including the coronaviruses, the last
viruses responsible for emerging zoonoses, in particular with the current Covid-19 pandemic. For this disease, the species barrier can be crossed with other animals, including pets and farm animals.
La maladie COVID-19, due au coronavirus dénommé SARS-CoV-21, est apparue fin 2019 dans la ville de Wuhan, en Chine. Elle s’est très vite révélée d’une contagiosité particulièrement importante, surtout en présence de « clusters2 » initiaux, la faisant qualifier de pandémie par l’OMS début 2020. Cette maladie se caractérise à la fois par une évolution bénigne dans la majorité des cas, au point qu’il existe de nombreuses formes asymptomatiques, mais aussi par la présence de cas graves nécessitant une hospitalisation chez une faible proportion des personnes touchées, en raison principalement d’une détresse respiratoire aiguë survenant entre J+7 et J+10. Cette situation a provoqué une augmentation massive des besoins en lits de
réanimation et causé de nombreux décès. Face à un engorgement très préoccupant des lits hospitaliers, la majorité des états ont décidé de confiner massivement la population à domicile pour éviter la propagation du virus. Ainsi a-t-on assisté au printemps 2020 à une situation absolument inédite à l’échelle de notre planète : un nombre de personnes, probablement le quart de la population mondiale, n’a plus été autorisé à se déplacer librement, avec une paralysie de l’activité humaine, et la perspective d’une crise économique majeure consécutive.
Cette épreuve sidérante, imposée à l’espèce humaine sur la planète tout entière, a engendré une prise de conscience soudaine de l’extrême fragilité de notre modèle de développement globalisé. Cette mise à l’écart a permis paradoxalement à beaucoup de nos congénères de réfléchir au sens de la vie, d’anticiper une réorientation de leurs objectifs, et même de porter un regard philosophique sur le monde.
Nouvelle situation que cette infection Covid-19, nouvelle sur le plan médical ce qui explique les nombreuses pistes thérapeutiques que chacun discute allégrement, nouvelle aussi sur le plan épidémiologique, son mode de contamination, la présence imperceptible du virus et le risque de morbi-mortalité qui en découle. Cette épidémie aura été au moins l’occasion de
reparler des règles d'hygiène dans des sociétés aussi peuplées et mobiles que les nôtres. La famille des coronavirus est responsable d’infections respiratoires chez les mammifères
et les oiseaux. Il s’agit de virus à ARN. Chez l’homme, quatre sont responsables de pathologies bénignes chez les patients immunocompétents (HCoV-229E, HCoV-OC43, HCoV-NL63 et HKU1). Deux sont responsables de pathologies sévères et potentiellement mortelles : le SARS-CoV-1 et le MERS-CoV, identifiés respectivement en 2003 et 2012. Le SARS-CoV-1 avait provoqué la mort de 774 personnes en 2002-2003 après avoir infecté 8 096 personnes, essentiellement en Chine dans la province de Guangdon et à Hong Kong. Le taux de létalité était estimé à 9,6 %. Le MERSCoV a été responsable en 2012 d’une épidémie localisée au Moyen-Orient. Le taux de létalité était de 38 %. En 2015, une seconde épidémie, en Corée du Sud avait fait 36 morts sur 186 cas confirmés.
En décembre 2019, l’apparition de plusieurs cas de pneumopathies d’origine inconnue dans la province de Hubei en Chine a conduit à l’identification, en janvier 2020, d’un nouveau coronavirus, appelé SARS-CoV-2 par le groupe de travail Coronavirus du Comité international de taxonomie des virus. La transmission interhumaine a entraîné la propagation du virus vers la Thaïlande, puis vers d’autres pays, causant aujourd’hui une pandémie mondiale. Le SARS-CoV-2 provoque une maladie respiratoire parfois sévère, nommée COVID-19 (Corona
Virus Disease-2019) par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
L’épidémie de COVID nous a montré l’état désastreux de notre système de santé, mais aussi les limites de cette médecine qu’on voudrait purement chimique et inféodée au « petit p ».
Comment expliquer en particulier qu’en rencontrant ce virus, certains ne fassent quasiment aucun symptôme et n’aient aucune séquelle et que d’autres en meurent ou passent des semaines à l’hôpital pour en ressortir avec des séquelles qui persistent encore 2 mois plus tard ?
Les premières études nous permettent de tracer le profil des personnes à risques :
un âge avancé, une obésité, un diabète, de l’hypertension (sans qu’on sache si ce facteur de risque est lié à la maladie ou au traitement), un état auto-immun sont autant d’éléments du
« terrain » qui favorisent une forme grave du COVID.
Mais nous avons tous vu à la télé des personnes très âgées réagir parfaitement et faire une forme bénigne. J’en ai eu dans ma clientèle. D’ailleurs, à mon petit niveau, aucune hospitalisation dans ma clientèle ! Pourquoi ? Et la plupart de mes confrères homéopathes ou phytothérapeutes ont les mêmes retours. J’ai même des confrères qui s’occupent d’EHPAD et qui ont eu une mortalité bien moindre que dans d’autres établissements. Pourquoi ? Est-ce le hasard ? Je ne crois pas au hasard ! C’est comme pour le protocole du Pr Raoult. Il a de bons résultats, mais ses détracteurs disent que ça peut être lié au hasard, aux biais de recrutement. Est-ce bien raisonnable même si c’est « scientifique ». À l’heure où les experts qui conseillent notre président nous explique que notre seul salut face à ce virus sera la mise au point d’un vaccin, nous pouvons peut-être envisager qu’il y ait d’autres moyens de limiter le risque d’infection grave, d’autres façons de se prémunir des virus en général et du coronavirus en particulier. Il existe de nombreuses études qui montrent qu’en renforçant le terrain, en agissant sur différents critères qui peuvent paraitre banals à certains, on réduit ces risques. C’est le cas de la supplémentation en ZINC et en VITAMINE D.
Vauquelin, en 1809, isole la Nicotine du tabac. Il nomma ainsi cet alcaloïde en souvenir de jean Nicot qui introduit le tabac en Inde et en Europe en 1560. Elle a été purifiée en 1828 par Posselt et Reimann (c’est la période durant laquelle Pelletier et Caventou ont isolé la Strychnine, la Quinine et la Colchicine). La teneur en Nicotine peut varier d’une plante à l’autre, cependant, on peut retenir que dans les cigarettes, on a environ 5 % de Nicotine, dans les cigares elle varie entre 0.15 à 2 %, elle ne dépasse pas 3% dans les tabacs à priser. C’est le seul alcaloïde qui agit sur le système sympathique et parasympathique.
Dans le Coronavirus, on a remarqué que les fumeurs étaient moins atteints que les nonfumeurs ; Il faudrait peut-être, comme je l’ai fait pour la Maladie de Parkinson, essayer de comprendre pourquoi, en étudiant l’action de la Nicotine sur les récepteurs cellulaires.
Puisque nous sommes en période d’épidémie, voici un court aperçu des plantes médicinales courantes qui pourront vous aider à vous prémunir et celles qu’il faut éviter.