La chronobiologie, science récente (début des années 1970) est l’étude de l’organisation temporelle et les mécanismes qui en assurent le contrôle, le maintien et les altérations. Chez tous les êtres vivants, on observe une anatomie dans le temps, caractérisée par des rythmes biologiques et des variables biologiques. De nombreux organes présentent des rythmes circadiens, comportementaux et physiologiques, générés par des mécanismes cellulaires et moléculaires complexes et orchestrés par une horloge principale. Cette rythmicité interne d’origine génétique est propre à chaque espèce et permet à tout organisme de se synchroniser par rapport à son environnement et aux signaux périodiques perçus (alternance jour/nuit, variations de températures, etc.).
Les rythmes biologiques et l’organisation temporelle évoluent au cours du développement et de la croissance humaine et persistent habituellement chez les adultes et les personnes âgées en bonne santé.
Actuellement la Chronobiologie est appliquée dans différents domaines comme le médical (chrono physiologie et chrono pathologie), la thérapeutique (chrono pharmacologique), la nutrition (chrono nutrition), les rythmes scolaires, les rythmes de travail, etc.
Mais quelles sont les utilisations possibles de la chronobiologie dans le domaine dentaire ?

Connaissez-vous la prêle des champs ?

Le silicium est le second plus abondant élément de l’écorce terrestre. Oligoélément majeur dans le corps humain, il est apporté principalement par l’alimentation ou une supplémentation phytothérapique beaucoup plus efficace.

Le docteur allemand Schuessler (1821 – 1893) a repris les substances minérales qui entrent dans la composition des tissus animaux et végétaux. Ces dernières subsistent après calcination. L’excès est éliminé et non métabolisé. C’est pour cette raison qu’avant même de préparer ses études de médecine, en biochimiste, il a élaboré une théorie qui se situe entre la Biochimie, l’Oligothérapie et l’Homéopathie et a mis au point douze sels, dont les onze premiers sont physiologiques.

Les deux infections les plus courantes de la sphère dentaire sont la carie dentaire et les parodontites. L'objet de cet article est d’identifier les bactéries qui en sont la cause et d'aborder les moyens matériels et chimiques dont nous disposons à l'heure actuelle pour maintenir une bonne hygiène buccale de façon à éliminer la plaque dentaire et éviter le développement des bactéries nuisibles.

La micronutrition est une voie complémentaire au traitement parodontal. Elle accompagne la phytothérapie, l’aromathérapie, l’homéopathie, l’allopathie et le traitement en bouche.

En tant que praticien de terrain, sa connaissance et sa mise en pratique sont incontournables dans l’optimisation de la thérapeutique parodontale.

Nous l’aborderons en 3 parties. La première partie consiste à comprendre les fondamentaux de la maladie parodontale. La deuxième partie va nous amener à cibler les 3 volets d’action sur la maladie parodontale. La troisième partie va correspondre à la stratégie thérapeutique en triptyque synergique en vue d’optimiser au mieux le traitement de la maladie parodontale.

Par ses propriétés antalgiques, anti-inflammatoires, anti-infectieuses et cicatrisantes, la phyto- aromathérapie propose d'apporter une aide précieuse en implantologie dentaire. Au profit du patient, elle contribue à diminuer la charge bactérienne avant, pendant et après l'intervention, permet d'optimiser les conditions pour une bonne intégration de l'implant, prévient et traite d'éventuelles complications. Pour le praticien, elle assurera un meilleur confort de travail, facilitera la prise en charge des cas particuliers, notamment en cas d'hémorragies, d'inflammation importante, d'algie, de complications infectieuses, et permettra d'accélérer la régénération des tissus péri-implantaires, de prévenir leur dégradation.

Parce que les huiles végétales sont des corps gras, on a l’impression qu’elles sont difficiles à digérer, qu’elles vont faire grossir, qu’elles rendent le foie malade, …. C’est faux. Les huiles végétales sont essentielles à l’équilibre lipidique de notre alimentation. Si elles nous paraissent lourdes à digérer, c’est parce que l’on ne sait pas les choisir, on ne sait pas les consommer.

Totum de la plante médicinale… Place du totum en phytothérapie… Totum global… Totum partiel… ?? Combien de fois entend-on à l’évocation de ce terme, de ce concept, les réactions suivantes : « mais de quoi parlez-vous précisément, avez-vous une définition partagée du Totum à nous proposer ? »

Fort de mes incertitudes, j’ai décidé d’ausculter les pensées de cinq experts, médecins, pharmaciens, chercheurs, en les laissant librement s’exprimer à propos de ce mystérieux TOTUM :

• sa place dans l’offre galénique globale en matière de phytothérapie ;
• ses avantages et ses inconvénients par rapport aux autres modes de préparation ;
• les notions de synergie et de complémentarité appliquées au TOTUM ;
• l’actualité de l’aphorisme «  le tout est bien plus que l’ensemble des parties » ;
• l’information concernant le TOTUM en direction des interlocuteurs concernés : patients, professionnels de santé, étudiants, partenaires scientifiques ;  
• la position particulière du TOTUM quant aux notions d’efficacité thérapeutique et de tolérance.

Tous les cinq, Pr Evelyne Ollivier, Dr Jean-Michel Morel, Dr Daniel Scimeca, Dr Laurent Mifsud et Didier Guédon nous ont confié leur vision personnelle, qu’ils en soient remerciés…