Prévention des infections virales : et si le vaccin n’était pas la seule piste ?

L’épidémie de COVID nous a montré l’état désastreux de notre système de santé, mais aussi les limites de cette médecine qu’on voudrait purement chimique et inféodée au « petit p ».
Comment expliquer en particulier qu’en rencontrant ce virus, certains ne fassent quasiment aucun symptôme et n’aient aucune séquelle et que d’autres en meurent ou passent des semaines à l’hôpital pour en ressortir avec des séquelles qui persistent encore 2 mois plus tard ?
Les premières études nous permettent de tracer le profil des personnes à risques :
un âge avancé, une obésité, un diabète, de l’hypertension (sans qu’on sache si ce facteur de risque est lié à la maladie ou au traitement), un état auto-immun sont autant d’éléments du
« terrain » qui favorisent une forme grave du COVID.
Mais nous avons tous vu à la télé des personnes très âgées réagir parfaitement et faire une forme bénigne. J’en ai eu dans ma clientèle. D’ailleurs, à mon petit niveau, aucune hospitalisation dans ma clientèle ! Pourquoi ? Et la plupart de mes confrères homéopathes ou phytothérapeutes ont les mêmes retours. J’ai même des confrères qui s’occupent d’EHPAD et qui ont eu une mortalité bien moindre que dans d’autres établissements. Pourquoi ? Est-ce le hasard ? Je ne crois pas au hasard ! C’est comme pour le protocole du Pr Raoult. Il a de bons résultats, mais ses détracteurs disent que ça peut être lié au hasard, aux biais de recrutement. Est-ce bien raisonnable même si c’est « scientifique ». À l’heure où les experts qui conseillent notre président nous explique que notre seul salut face à ce virus sera la mise au point d’un vaccin, nous pouvons peut-être envisager qu’il y ait d’autres moyens de limiter le risque d’infection grave, d’autres façons de se prémunir des virus en général et du coronavirus en particulier. Il existe de nombreuses études qui montrent qu’en renforçant le terrain, en agissant sur différents critères qui peuvent paraitre banals à certains, on réduit ces risques. C’est le cas de la supplémentation en ZINC et en VITAMINE D.

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