pathogènes que le soutien de l’organisme dans sa capacité naturelle à se renforcer afin de ne pas laisser le microbe indésirable s’installer (il ne fera que passer). En fait, l’infection n’est souvent rien d’autre que la manifestation d’un déséquilibre sous-jacent. Voici un résumé de propositions à mettre en place.
Les haies qui fermaient nos jardins étaient composées d'arbres bien particuliers qui alliaient vertus magiques protectrices, nourriture d'appoint et vertus médicinales.
Nous rapportons et discutons l’intérêt, face à l’épidémie en cours de la Covid-19, d’une supplémentation en propolis brune de peuplier titrée en polyphénol à travers une observation rétrospective de terrain d’individus du 3e âge vivant en résidence. La propolis ne réduit pas le risque létal mais semble globalement favoriser des formes cliniques asymptomatiques ou l’absence de contamination à la Covid-19 (p < 0,05). La propolis semble diminuer l’inflammation induite par la Covid-19 et stimuler également le système immunitaire. Les polyphénols apparaissent susceptibles de jouer un rôle essentiel dans l’immuno-modulation et les actions anti-inflammatoires et antivirales de la propolis. Cela conforte l’intérêt d’une propolis caractérisée sur le plan botanique et titrée en polyphénol pour une action efficace.
Le Coronavirus, le Sars-CoV-2, semble provoquer des signes communs à l’atteinte virale, mais varie d’intensité en fonction de l’âge, des affections du sujet : diabétiques, obèses, hypertendus… qui semblent être plus vulnérables et plus sensibles. Les homéopathes s’intéressent non seulement à la pathologie virale, mais également au comportement du sujet devant cette épidémie. La polémique augmente en fonction des traitements et des hypothèses de mutation, d’apparition… Les choix thérapeutiques, les préventions et l’association ou non antiviraux et d’antibiotiques… que nous n’aborderons pas. La pandémie, nécessite des règles décrites par
l’OMS.
Nous aborderons les associations homéopathiques aux traitements officiels.
La relation structure activité consiste à analyser la nature et l’importance des relations existant entre : la structure chimique, la conformation spatiale, les influences électroniques d’une molécule d’une part et son activité biologique d’autre part.
Par exemple l'huile essentielle de gaulthérie riche en salicylate de méthyle proche de l’aspirine, permettre de lutter contre les rhumatismes, lumbagos, sciatiques, entorses, foulures…
Les huiles essentielles sont des composés bien spécifiques car la plupart d’entre elles sont constituées d'un mélange assez complexe de monoterpènes, de sesquiterpènes, d'alcools, d'esters, d'aldéhydes, d'oxydes, etc. En outre les huiles essentielles donnent aux plantes leur odeur distinctive, protègent la plante et jouent un rôle dans leur pollinisation.
Elles sont réparties dans quelques familles botaniques bien spécifiques, la reine des familles de plantes à huile essentielle étant la famille des Lamiacées devant les Astéracées, Apiacées, Poacées, Rutacées, Lauracées et Magnoliacées et Myrtacées.
À une structure active donnée correspond un type de récepteur biologique spécifique et de la stéréo fixation sélective découleront des effets généraux et particuliers de ces molécules actives.
Fin de consultation : Madame M. se lève, serre la main de son médecin et avant de le quitter : « Oh… docteur, j’ai oublié, je ne dors pas depuis plusieurs semaines, pouvez-vous rajouter quelque chose sur mon ordonnance ? » Une fois sur deux, le praticien rajoute sur celle-ci un hypnotique de synthèse, n’ayant pas la réelle opportunité de proposer à Madame M. une nouvelle consultation pour évaluer sa demande.
Il s’agit ici d’une situation clinique fréquemment rencontrée en médecine générale. L’hypnotique est efficace, terriblement efficace car au bout de trois semaines, Madame M. revient pour obtenir un renouvellement de ce médicament car elle en est rapidement devenue dépendante. À l’heure de l’Evidence Based Medecine, cette situation vous paraît-elle cohérente, l’attitude du médecin prescripteur vous paraît-elle pertinente ? Peu de professionnels de santé répondront par l’affirmative. Nous voilà face à un exemple type de non pertinence en matière de soins, cette dernière générant selon les chiffres de l’OCDE 40 à 60 milliards d’euro.
Le biofilm buccal et ses multiples espèces bactériennes qui le composent, interviennent dans la santé parodontale et par ricochet sur la santé générale. La préservation de la santé locale et générale du patient dépend aussi clairement d’une santé parodontale. Un accompagnement de la maladie parodontale : prévention, traitement initial, curatif et maintenance la maladie parodontale s’avère nécessaire.
Les rôles des professionnels de santé de la bouche et des professionnels de santé, en général sont liés dans l’efficacité du résultat en stimulant le patient dans la pratique d’une hygiène bucco-dentaire soutenue et ajustée.
Le diabète de type 2 ou DT2 est essentiellement lié à ce que nous mangeons et en particulier aux excès de glucides. Or l’alimentation moderne et industrielle est pleine de sucres ! Sodas, pains sous différentes formes (sandwich, fast-food, pizza), sucreries, pâtisseries, frites et pâtes, céréales en croquettes du petit déjeuner et sucres ajoutés dans de nombreux aliments. Vous ne serez donc pas surpris d’apprendre que le diabète est une des maladies les plus fréquentes et les mieux réparties sur la planète.
L’intérêt de la diététique alimentaire dans la prise en charge du diabétique développée dans le N° 115 est primordiale mais celui des plantes en traitement naturel a prouvé son utilité surtout dans les diabètes débutants et/ou en association avec les traitements en cours.