La phytothérapie vétérinaire, qu’elle soit destinée à l’animal de compagnie ou employée en élevage, est sous documentée, en termes ethnobotaniques tout comme pour sa validation scientifique. Des contraintes réglementaires fortes sur les emplois thérapeutiques (notamment relatifs aux résidus dans les denrées alimentaires) conduisent à l’utilisation majoritaire de produits « frontières » à base de plantes et d’huiles essentielles, y compris en « automédication ». Un tour d’horizon est proposé, insistant notamment sur les efforts de l’Anses-ANMV dans ce domaine.
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