Peut-on résoudre les problèmes de dilutions en homéopathie ? Exemple de validation (N° 100)

Hahnemann, le fondateur de la technique homéopathique, s’est heurté rapidement au problème des dilutions. Il a toujours recherché l’efficacité et la non toxicité des médicaments. « Primum non nocere » (avant tout ne pas nuire). Ce qui a fait naitre le second principe de l’Homéopathie « Principe d’Infinitésimalité », après le principe de «similimum », c’est-à-dire le principe des semblables ou Similitude. C’est ainsi qu’il s’est rendu compte que l’efficacité d’une dilution homéopathique dépendait de deux éléments : d’une part de la dilution elle-même, associée à une forte agitation ou dynamisation, appelée par certains succussion, d’autre part à la sensibilité du
sujet, permettant d’aboutir au troisième principe de l’Homéopathie : la totalité. voulant valider cette observation, en 1985, je décidai de l’expérimenter avec une équipe de
l’INSERM U50 de l’Hôpital St Antoine à Paris, dirigée par le Docteur William Rostène, spécialisé en Neurophysiologie. Cette étude, nous a permis de faire préparer une thèse de recherche à Mlle Marie Noëlle Montagne. Ces travaux correspondent à plusieurs centaines de pages de documents et de résultats. Ce n‘est qu’en 2001 que j’ai fait le pont avec les récepteurs Muscariniques et Dopaminergiques dans la maladie de Parkinson.

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