L’effet des perturbateurs endocriniens sur notre corps et comment soutenir le système hormonal par la phytothérapie

Les hormones synthétiques sont omniprésentes dans nos vies et en gynécologie : en effet, des millions de couples se protègent quand les femmes prennent la pilule contraceptive ou portent un stérilet hormonal. En cas d'endométriose et de dysménorrhée, la pilule contraceptive est prescrite pour soulager les symptômes. Malheureusement, dans certaines situations et à long terme, ce traitement peut aggraver les symptômes [1]. De même l'hormonothérapie pendant la ménopause soulage certes les symptômes dérangeants, mais augmente, selon les substances utilisées, le risque de cancer du sein. De plus les métabolites hormonaux se retrouvent dans la terre et les eaux, où ils sont difficilement dégradables et fortement bioactifs. Ingérés avec l'eau potable et l’alimentation, ils perturbent, en tant que perturbateurs endocriniens, le métabolisme et les messagers endogènes de l'homme, de la femme, et de tous les êtres vivants. Ces xénohormones, qui ressemblent fortement aux oestrogènes, favorisent entre autres l'endométriose et les douleurs menstruelles, la baisse de la fertilité chez les deux sexes, le syndrome prémenstruel, les troubles de la thyroïde, le syndrome métabolique, la résistance à l'insuline et le diabète. Je vais prendre l'exemple de l'endométriose pour illustrer quelques-unes de mes réflexions sur ce sujet.

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