Après avoir exploré les nombreux bénéfices de la supplémentation en omega-3 dans nos articles précédents, dédiés à la prévention cardiovasculaire, à la santé des femmes enceintes, aux sujets âgés, à la psychiatrie et au Covid long, nous nous penchons désormais sur un nouvel aspect captivant : les avantages de ces acides gras dans le contexte des maladies neurodégénératives, avec un accent particulier sur trois pathologies majeures : la maladie de Parkinson, la démence d’Alzheimer et la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA). Une approche nutritionnelle se dévoile comme une stratégie prometteuse pour freiner ou prévenir l’évolution de maladies neurodégénératives telles que la maladie de Parkinson, la maladie d’Alzheimer et la DMLA, d’autant plus qu’aucun traitement efficace n’est actuellement disponible pour ces affections. Les effets positifs des acides gras Oméga-3 sont solidement ancrés dans la littérature scientifique, résultant de leur implication dans diverses fonctions biochimiques. Celles-ci englobent la synthèse de médiateurs anti-inflammatoires, la régulation de la fluidité membranaire, la modulation de la signalisation intracellulaire et l’influence sur l’expression génique. Nous étudions les études épidémiologiques et les essais cliniques ayant scruté l’impact de la supplémentation ou de l’apport alimentaire en acides gras polyinsaturés Oméga-3 sur les maladies neurodégénératives, en se penchant particulièrement sur la maladie de Parkinson et la maladie d’Alzheimer. En effet, le traitement aux acides gras Oméga-3, reconnu pour sa sûreté et sa tolérance, émerge comme un outil précieux et biologiquement plausible dans la gestion des maladies neurodégénératives,
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