Il s’agit ici d’une situation clinique fréquemment rencontrée en médecine générale. L’hypnotique est efficace, terriblement efficace car au bout de trois semaines, Madame M. revient pour obtenir un renouvellement de ce médicament car elle en est rapidement devenue dépendante. À l’heure de l’Evidence Based Medecine, cette situation vous paraît-elle cohérente, l’attitude du médecin prescripteur vous paraît-elle pertinente ? Peu de professionnels de santé répondront par l’affirmative. Nous voilà face à un exemple type de non pertinence en matière de soins, cette dernière générant selon les chiffres de l’OCDE 40 à 60 milliards d’euro.
Le biofilm buccal et ses multiples espèces bactériennes qui le composent, interviennent dans la santé parodontale et par ricochet sur la santé générale. La préservation de la santé locale et générale du patient dépend aussi clairement d’une santé parodontale. Un accompagnement de la maladie parodontale : prévention, traitement initial, curatif et maintenance la maladie parodontale s’avère nécessaire.
Les rôles des professionnels de santé de la bouche et des professionnels de santé, en général sont liés dans l’efficacité du résultat en stimulant le patient dans la pratique d’une hygiène bucco-dentaire soutenue et ajustée.
Le diabète de type 2 ou DT2 est essentiellement lié à ce que nous mangeons et en particulier aux excès de glucides. Or l’alimentation moderne et industrielle est pleine de sucres ! Sodas, pains sous différentes formes (sandwich, fast-food, pizza), sucreries, pâtisseries, frites et pâtes, céréales en croquettes du petit déjeuner et sucres ajoutés dans de nombreux aliments. Vous ne serez donc pas surpris d’apprendre que le diabète est une des maladies les plus fréquentes et les mieux réparties sur la planète.
L’intérêt de la diététique alimentaire dans la prise en charge du diabétique développée dans le N° 115 est primordiale mais celui des plantes en traitement naturel a prouvé son utilité surtout dans les diabètes débutants et/ou en association avec les traitements en cours.
En cette période estivale, chaleur et canicule rime avec moustiques, mouches, phlébotomes, tiques, aoutats et autres joyeux parasites piqueurs prêts à profiter aussi des rayons du soleil pour se nourrir et se reproduire.
Résultats : grattage et plaie de gratouille sont au rendez-vous pour provoquer ce que l’on appelle des « hot spot », gâchant le plaisir de profiter du soleil avec son animal. En cause, des origines diverses et variées, allant des piqures d’insectes piqueurs aux allergies multiples (que l’on appelle « atopie ») en passant par la case pyodermique, infection grave de la peau.
En décembre 2019, dans la province de Hubei (Chine), une épidémie de pneumonies d’allure virale d’étiologie inconnue a émergé dans la ville de Wuhan. Le 9 janvier 2020, la découverte d’un nouveau coronavirus a été annoncée officiellement par les autorités sanitaires chinoises et l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Ce nouveau virus est l’agent responsable de cette nouvelle maladie infectieuse respiratoire appelée Covid-19 (pour COronaVIrus Disease), pour le moment identifié sous le nom de SARSCoV-2.
Les recommandations de prise en charge destinées aux professionnels de santé en ville étaient d’appeler le médecin ou le 15.
L’homme s’est toujours tourné vers les plantes et, a priori, a toujours pensé que la nature était bonne. Aussi au cours des siècles, il a appris à ses dépens qu’un bon nombre de plantes pouvaient avoir des propriétés psychotropes. Ces plantes contiennent des substances chimiques capables de provoquer des hallucinations visuelles, auditives, olfactives et gustatives. Leur utilisation remonte aux premiers pas de l’homme dans la connaissance de son environnement végétal. Les effets provoqués par ces plantes sont souvent étranges et inexplicables : il n’est donc pas étonnant qu’elles aient joué un rôle important dans les rites religieux des civilisations et qu’elles soient encore vénérées par certains peuples dont les cultures perpétuent d’anciennes traditions.
La benoîte commune (Geum urbanum L., Rosaceae) se nomme également herbe de saint Benoît, herbe bénite, benedicta selon Hildegarde de Bingen.
Les maladies émergentes sont nombreuses depuis quelques décennies du fait de l’amélioration des méthodes de diagnostic mais aussi en raison des voyages, du commerce et des possibilités de contamination par des animaux sauvages ou domestiques. Près de 75 % des maladies sont des zoonoses c’est-à-dire communes à l’Homme et à l’animal. Les chauves-souris ont joué un rôle important de réservoir pour de nombreux virus dont les coronavirus, derniers virus responsables de zoonoses émergentes en particulier avec la pandémie actuelle de la Covid-19. Pour cette maladie, la barrière d’espèce peut être franchie avec d’autres animaux, dont les animaux de compagnie ou d’élevage.
There have been many emerging diseases in recent decades due to improved diagnostic methods, but also due to travel, trade and the possibility of contamination by wild and domestic animals. Nearly 75 % of diseases are zoonoses common to humans and animals. Bats have played an important role as a reservoir for many viruses, including the coronaviruses, the last
viruses responsible for emerging zoonoses, in particular with the current Covid-19 pandemic. For this disease, the species barrier can be crossed with other animals, including pets and farm animals.
La maladie COVID-19, due au coronavirus dénommé SARS-CoV-21, est apparue fin 2019 dans la ville de Wuhan, en Chine. Elle s’est très vite révélée d’une contagiosité particulièrement importante, surtout en présence de « clusters2 » initiaux, la faisant qualifier de pandémie par l’OMS début 2020. Cette maladie se caractérise à la fois par une évolution bénigne dans la majorité des cas, au point qu’il existe de nombreuses formes asymptomatiques, mais aussi par la présence de cas graves nécessitant une hospitalisation chez une faible proportion des personnes touchées, en raison principalement d’une détresse respiratoire aiguë survenant entre J+7 et J+10. Cette situation a provoqué une augmentation massive des besoins en lits de
réanimation et causé de nombreux décès. Face à un engorgement très préoccupant des lits hospitaliers, la majorité des états ont décidé de confiner massivement la population à domicile pour éviter la propagation du virus. Ainsi a-t-on assisté au printemps 2020 à une situation absolument inédite à l’échelle de notre planète : un nombre de personnes, probablement le quart de la population mondiale, n’a plus été autorisé à se déplacer librement, avec une paralysie de l’activité humaine, et la perspective d’une crise économique majeure consécutive.
Cette épreuve sidérante, imposée à l’espèce humaine sur la planète tout entière, a engendré une prise de conscience soudaine de l’extrême fragilité de notre modèle de développement globalisé. Cette mise à l’écart a permis paradoxalement à beaucoup de nos congénères de réfléchir au sens de la vie, d’anticiper une réorientation de leurs objectifs, et même de porter un regard philosophique sur le monde.